Nous serons présents à la marche blanche en l’honneur de la fillette Lola Daviet, assassinée de manière épouvantable il y a quelques jours. Le plus important maintenant est de faire acte de présence, et de ne pas laisser ce meurtre odieux passer pour un simple fait-divers. Je viendrai jeudi, ainsi que plusieurs autres membres des fondationautes. Nous incitons chacun à faire de même. Nous ne viendrons pas avec l’idée en tête de promouvoir une remigration, ni de participer à une quelconque éruption de colère, car ce sera d’abord un moment de recueil. Le meurtre de cette fillette doit passer le moins inaperçu possible. Tout comme la gauche s’est mobilisée pour George Floyd, il faut se mobiliser pour Lola Daviet et trouver notre White Lives Matter à nous. Ce qui importe, là, maintenant, est de demander des comptes à nos institutions.
Parce que c’est bien le procès d’un système qui doit avoir lieu. Le mouvement Black Lives Matter s’est attaqué au système qui commettait selon lui des violences policières à l’encontre des afro-américains. Il faut dénoncer un système qui n’a aucune espèce de pitié pour la population française. Un système indéboulonnable avec l’emprise médiatique énorme qui est la sienne et le système d’élection à deux tours. Qui organise une immigration extra-européenne délirante. Un système qui a mis au pas toutes les institutions françaises. Un système qui délivre des visas étudiant en masse sans aucun suivi à des gens qui sont dangereux. Qui n’exécute pas les OQTFs. Qui envisage de transformer les campagnes à leur tour maintenant que les villes ne sont plus habitables. Qui jouit même en se félicitant de la victoire d’un footballeur algérien ou bien en rappelant des histoires vieilles de plus de 60 ans pendant que l’on pleure une mort qui dépasse tout ce qu’on a pu connaitre en termes d’horreur. La fillette d’un couple qui venait simplement travailler en Ile-de-France, d’une mère qui faisait simplement son travail de gardienne d’immeuble. Un système qui contrôle toute la chaine. Qui organise autant la rencontre entre la victime et son bourreau, que le service après-vente auprès de la famille et de la population, et qui se permet même encore de donner des leçons de décence.
Ce système, c’est le système remplaciste. Ce qui se passe, c’est bien l’européanocide. Ou bien le francocide, comme il est dit. C’est le démantèlement de tout ce qui est européen, le Grand Remplacement, la réécriture du passé, la criminalité dirigée vers les blancs, le crime perpétré à l’encontre des populations européennes. C’est 700 à 1000 agressions gratuites chaque jour en France. Avec des meurtres épouvantables chaque semaine désormais. C’est une propagande qui tambourine à toute heure, sur tous les canaux, expliquant que notre destin est celui de l’Afrique, de gré ou de force, que l’on ferait bien de s’y faire, avec une légitimation constante sous couvert de repentance de la violence et du racisme envers les blancs, responsables parait-il de tous les maux de l’Histoire. Et dans ce crime global, les immigrés extra-européens ne sont que l’instrument. Dans le génocide à l’Homme, l’Homme est l’instrument.
Entrepreneur, ingénieur spécialisé dans les technologies d’Intelligence Artificielle.